Pricing et Yield Aérien Article La Libre Belgique 2005

[Zorm]

J'ai trouvé cet article sur la Libre Belgique, en voici un extrait, qu'en pensez vous ?

A mon sens, la manière dont sont présentées les offres a tendance à se décrédibiliser elle même. Ca devient ridicule. Quand au couplet sur le Yield, il n'a rien à voir avec la réalité. Quand les journalistes et les consommateurs comprendront ils que l'augmentation qu'ils peuvent dans ce cas constater n'en est pas une. En effet, c'est "avant" que le tarif est proposé de manière promotionnelle, lorsqu'il y a peu de demande. Lorsque la demande est au rendez vous, le tarif redevient normal pour la période. Donc en fait, ceux qui se plaignent du yield bénéficient grace à lui de tarifs avantageux et de disponibilités qu'ils n'auraient pas eu autrement et ralent lorsque ce même yield, victime de son succès, ne propose plus que les disponibilités et tarifs normaux. Quand je vous dis que le consommateur est paradoxal ?
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http://www.lalibre.be/article.phtml?id=3&subid=85&art_id=231097

Consommation : Plus de transparence sur les tarifs aériens - A.B.(st.)
Mis en ligne le 20/07/2005 - Test Achats met en garde contre les offres alléchantes des compagnies aériennes.

[Bourbaki]

Cher Zorm, cet article me rappelle les violentes critiques que
nous livrent tous les ans nos amis des Journaux Télévisés au
moment des départs en vacances.

Rétablissons la vérité...

Quand vous allez au supermarché, pas question de réserver un
yaourt et de le payer 10 jours plus tard. Tu le prends, tu le
payes.
Les clients des compagnies aériennes ont cette liberté de pouvoir
réserver un billet sans payer immédiatement. Du coup, des tas de
clients annulent leur voyage ou ne se présentent pas le jour du
départ.

La suroffre est une pratique qui permet d'anticiper ces
comportements.
Sans elle, les taux de remplissage baisseraient de 20%. Et pour
compenser la perte de trafic, les prix augmenteraient dans les
mêmes proportions... Donc, pour les bas prix, merci au
surbooking.

Et il est curieux de voir des voyageurs fréquents pester contre
ce surbooking quand ils sont débarqués, alors même que la
plupart du temps, lorsqu'ils se réservent sur un vol de manière
tardive, c'est justement grâce à lui et grâce aux places remises
en ventes avant même qu'elles soient annulées. Mais ça, ils ne
le voient jamais. Ils ne voient que inconvéniants de la
suroffre. Jamais les avantages. Ceci explique cela.

Bourbaki

[Zorm]

Heu, merci Bourbaki. Je vous rejoins sur le surbooking et ne lui en veut pas une seconde, si il est bien maitrisé. Par contre l'arcicle cité ne parlais pas du tout de ça, mais au contraire de pratiques commerciales et marketing assez équivaoques. Là, je pense que ce cas précis n'est pas cohérent avec une bonne communication client. Qu'en pensez vous ?
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Salutations - Zorm